Comparing Rates of Trial of Labour Attempts, VBAC Success, and Fetal and Maternal Complications Among Family Physicians and Obstetricians

To determine differences between family physicians and obstetricians in rates of trial of labour (TOL) attempt, vaginal birth after Caesarean section (VBAC) success, and maternal-fetal complications. We undertook a database evaluation study in an urban Quebec secondary care hospital centre that serv...

Full description

Saved in:
Bibliographic Details
Published inJournal of obstetrics and gynaecology Canada Vol. 30; no. 2; pp. 123 - 128
Main Authors Russillo, Balbina, Sewitch, Maida J., Cardinal, Linda, Brassard, Normand
Format Journal Article
LanguageEnglish
Published Netherlands Elsevier Inc 01.02.2008
Subjects
Online AccessGet full text
ISSN1701-2163
DOI10.1016/S1701-2163(16)32735-9

Cover

More Information
Summary:To determine differences between family physicians and obstetricians in rates of trial of labour (TOL) attempt, vaginal birth after Caesarean section (VBAC) success, and maternal-fetal complications. We undertook a database evaluation study in an urban Quebec secondary care hospital centre that serves a multiethnic population. Study subjects were pregnant women with at least one previous Caesarean section (CS), who delivered singletons at St. Mary’s Hospital Center between January 1995 and December 2003. Outcomes were rates of TOL attempt, of VBAC success and failure, and of uterine rupture or dehiscence. Of 32 500 singleton deliveries, 3694 (11.4%) women met study criteria. Of these, 3493 (94.6%) were patients of obstetricians, and 201 (5.4%) were patients of family physicians. The TOL attempt rate was 50.6% (1768) and 81.1% (163) for obstetricians and family physicians, respectively (P < 0.001). For women having TOL, the VBAC success rate was 64.3% for obstetricians and 76.1% for family physicians (P = 0.002). Rates of uterine rupture or dehiscence in the combined failed and successful VBAC groups were 2.9% for obstetricians and 4.3% for family physicians (P = 0.33) whereas in the failed VBAC group the rates were 7.9% versus 17.9% for the family physicians (P = 0.04). Within delivery outcomes for successful and failed VBAC there were no differences in maternal characteristics and newborn outcomes by physician group. More patients of family physicians than of obstetricians attempted TOL and had successful VBAC. Newborn outcomes were similar in the two groups, except that in the failed VBAC group, the family doctors had slightly higher uterine rupture or dehiscence rates; given the low power of this study, further studies are needed to confirm and explain this result. Also, given the similarity in patient profiles, the differences in delivery outcomes may be attributable to differences in physician practice styles. Identifier les différences entre les médecins de famille et les obstétriciens en matière de taux d’essai de travail (EDT), de taux de réussite de l’accouchement vaginal après une césarienne (AVAC) et de taux de complications materno-foetales. Nous avons mené une étude d’évaluation de base de données au sein d’un centre hospitalier de soins secondaires urbain québécois qui dessert une population multiethnique. Cette étude portait sur les femmes enceintes qui, ayant déjà connu au moins une césarienne, avaient accouché d’un enfant unique au St. Mary’s Hospital Center entre janvier 1995 et décembre 2003. Parmi les critères d’évaluation, on trouvait le taux d’EDT, les taux de réussite et d’échec de l’AVAC et le taux de rupture ou de déhiscence utérine. Dans le cadre de notre étude, 3 694 (11,4 %) des 32 500 femmes ayant connu un accouchement simple ont satisfait aux critères de sélection. Parmi celles-ci, 3 493 (94,6 %) étaient des patientes d’obstétriciens et 201 (5,4 %) étaient des patientes de médecins de famille. Les taux d’EDT étaient de 50,6 % (1 768) dans le cas des obstétriciens et de 81,1 % (163) dans celui des médecins de famille (P < 0,001). Chez les femmes tentant un EDT, le taux de réussite de l’AVAC était de 64,3 % pour les obstétriciens et de 76,1 % pour les médecins de famille (P = 0,002). Les taux de rupture ou de déhiscence utérine totaux (combinaison des résultats des groupes « échec de l’AVAC » et « réussite de l’AVAC ») étaient de 2,9 % pour les obstétriciens et de 4,3 % pour les médecins de famille (P = 0,33), alors que dans le groupe « échec de l’AVAC », les taux étaient de 7,9 % pour les obstétriciens et de 17,9 % pour les médecins de famille (P = 0,04). En ce qui concerne les issues d’accouchement au sein des groupes « échec de l’AVAC » et « réussite de l’AVAC », aucune différence n’a été constatée entre les obstétriciens et les médecins de famille en matière de caractéristiques maternelles et d’issues néonatales. Un plus grand nombre de patientes de médecins de famille, par comparaison avec les patientes d’obstétriciens, ont tenté un EDT et connu un AVAC réussi. Les issues néonatales étaient semblables dans les deux groupes; cependant, dans le groupe « échec de l’AVAC », les médecins de famille ont connu des taux légèrement supérieurs de rupture ou de déhiscence utérine. Compte tenu de la faible envergure de cette étude, d’autres études s’avèrent requises pour confirmer et expliquer ces résultats. De plus, compte tenu de la similarité des profils de patiente, les différences en matière d’issues d’accouchement pourraient être attribuables à des différences en ce qui concerne les styles de pratique des médecins en question.
Bibliography:ObjectType-Article-2
SourceType-Scholarly Journals-1
ObjectType-Feature-1
content type line 23
ISSN:1701-2163
DOI:10.1016/S1701-2163(16)32735-9